Valentin regardait la porte d’entrée qu’il venait tout juste de franchir. Pour lui c’était une nouvelle vie loin de tous ces malheurs, mais pourtant, il s’est qu’un jour tout recommencerait. Et si cette pension prenait feu un jour a cause que … Lui il était la ? On ne sait jamais, c’est des moments très mystérieux de la vie. Pour l’instant il ne bougea pas, se demandant ou aller. Il laissa tomber ses bagages contre le sol, ce qui déclancha dans le hall un écho, car cette vaste pièce était complètement vide, a part un nouveau… Lui. Valentin fit plusieurs tours sur lui-même pour regarder les moindres détails, tableau, architecture. Non, il n’aimait pas ça, mais c’était toujours intriguant et ça passe facilement le temps. Après plusieurs minutes, mêmes heures, à attendre de voir quelqu’un passé, son souhait se réalise. Un homme passa une tonne de document en main, il pourrait sûrement l’aider. Le nouveau prit ses quelques sacs puis prit le pas de course vers cette inconnu.
Expliquant son problème, l’homme déposa dans le creux de sa main une clé qui donnait a sa chambre. Valentin regarda quelques instants le bout de métal puis leva la tête pour remarquer que l’inconnu n’était plus la… Il devait maintenant se débrouiller par lui-même. Et de plus qu’il ne savait même pas qu’elle était sa chambre. Dans un nouveau soupir, il gravit les escaliers pour monter au premier étage, ou se trouvent habituellement les dortoirs. Ça ne prit pas grand temps avant de trouver les portes qui s’ouvrait chacune sur une chambre. Tenant toujours la clé, il inséra celle-ci dans plusieurs serrures sans pour autant l’ouvrir… Il passa tout une rangée ce porte comme ça. Valentin continua sa route faisant le même jeux, étant sure de réveiller quelque personne a cette heure… C’est rendu dans une autre série de portes qu’il trouva enfin qu’elle serrures allait avec sa clé. Il débarra la porte puis ouvrit celle-ci dans une léger grincement.
Le jeune homme ferma la porte derrière lui remarquant le manque de personne dans cette chambre, pourtant quatre lits étaient disposés de manière différente. C’est alors qu’il comprit qu’il dormirait en compagnie de d’autre personne. Espérons qu’il n’en ait aucun qui souffre de somnambulisme. Il ne savait pas si quelqu’un s’était déjà installer dans la chambre, mais Valentin prit le lit le plus éloigné, il déposa ses sacs juste devant puis s’assoit péniblement sur le lit. Il avait mal au dos et se montrait fatigué pourtant il n’en faisait pas tout un plat. Comme à son habitude il regarda les moindres détails de la chambre… Rien d’anormal… Fenêtre, lit, commode et plein d’autre petit trucs. Valentin tira sur ses jambes sont sac a dos donc il ne se sépare jamais. En l’ouvrant on pouvait voir a l’intérieur au moins cinq bouteilles de Gin et plein de paquet de cigarette. Il en attrapa un en affichant un sourire satisfait, referma le sac et le déposa sur le sol.
Tout en enlevant ses souliers, il déposa une cigarette sur le bout de ses lèvres puis sortit le briquet pour allumer celle-ci. Si quelqu’un de cette chambre n’aimait pas la cigarette, ce problème lui passera dix pieds au dessus de la tête. C’est soit les cigarettes, ou un désastre total dans la chambre. Dos contre le mur, une jambe replié sur lui, il fixa la porte comme si il attendait quelqu’un… Même s’il ne connaissait personne. Même si le silence était plutôt paisible, un peu de compagnie ne ferrait pas de tord. Valentin ferma les yeux en laissant échapper de ses lèvres la fumée toxique.