Nom: Ayaé
Prénom: Ruika
Âge: Elle approche des 16 ans mais ne les a pas encore atteint.
Sexe: She's a girl
Sexualité: Elle ne fréquente personne par peur de blesser les gens, elle n'a donc aucune idée de son orientation sexuelle.
Pourquoi est il dans ce pensionnat? Son père veut l'éloigner car elle est atteinte d'une maladie dangereuse...
Histoire:
Mon histoire n'est pas ordinaire, je ne souhaite à personne de la vivre. Personne ne devrait avoir le droit de souffrir autant, aucun enfant ne devrait dès la naissance être appelé à mourir. Aucun enfant ne devrait avoir à se dire "je suis un monstre" car c'est bien ce que je suis. Voici mon histoire et même si elle est pathétique je me dois de la raconter.
Mes parents se sont rencontrés il y a maintenant plus de vingt ans, mon père étai fils de diplomate et ma mère promise à un destin de geisha. Il se sont rencontré lors des débuts de ma mère en temps que maïko. Ils étaient jeunes et tombèrent follement amoureux l'un de l'autre... Mon père demandant ma mère en mariage et moyennent une grosse dote il obtint sa main. De beaux jours s'annonçaient pour eux, des jours heureux qu'ils savourèrent jusqu'à ma naissance. Car se fut le point de départ de tout nos malheurs.
Je suis née au Japon dans la grande ville de Tokyo. Mes parents m'aimaient déjà avant que je naisse mais le jours de ma naissance ma mère... Ma mère me mordit et lapa mon sang. J'aurais du y rester et cela aurait probablement était mieux pour vous autres mais mon père arriva à temps et il me sauva. Il n'aurait pas du ! On chercha la raison de l'acte de ma mère sans la trouver. Enfin si on la trouva "elle avait besoin de sang humain"... C'étaient se propre termes. Elle se mit a faire des crises de plus en plus fréquentes, mais moi je ne le savait pas comment aurais-je pu le savoir alors je n'avais pas trois ans ?! Elle avait besoin de sang humain pour vivre... Son état mental dégénérait. Elle devenait folle. Elle mourut alors que je n'avais pas pas trois ans... Mon père se remaria, sa femme est la seule mère que je n'ai jamais eu. Elle est la seule que j'ai appelé et que j'appellerais "maman".
Mon père croyait que les malheurs de notre famille étaient finis mais encore une fois cela était faux. J'avais cinq ans lorsque je fit ma première crise. Je ne m'en souvient plus que vaguement certaines images me reviennent mais je ne saurait vous expliquer exactement ce qui c'est produit ce jour là en moi. Je ne saurais et j'aurais honte d'expliquer ce que je ressent pendant mes crises. Ce jours là le chat de la maison à qui j'avais donné le nom de Ponpon était dans le jardin. Il s'était encore battu avec les chat du quartier comme vous pouvez vous en douté je l'ai tué... L'odeur de son sang à je croie réveillé en moi un instinct primaire... Je me suis repues de son sang jusqu'à la dernière goutte lorsque maman me trouva je pleurais sur le corps de l'animal qui ne voulait plus jouer, je savait pas ce qu'était la mort. Du sang coulait encore de ma bouche. J'avais peur on allait me gronder... Mais on ne me gronda pas maman appela mon père...
A partir de ce jours ma vie ne fut plus du tout la même, j'avais des crises voulant mordre mon père où ma mère et dans ce cas la je me mordait le poignet mais mon sang ne pouvait me rassasier totalement. Ma maladie était orpheline et se propageait dans la famille de ma mère, il lui arrivait parfois de sauter une génération mais elle revenait toujours, elle faisait partie de moi. On me fit des tests, me prélevant du sang pour essayer de trouver un remède... Mais bien entendu tout cela dans le secret car ça aurait pu gaucher la carrière de politique dans laquelle mon père c'était lancé.
Je croies que mes crises les plus virulentes furent lorsque j'avais six ans, je perdais totalement le contrôle dès qu'un humain s'approchait de moi. J'avais faim, et la seule chose qui pourrait me rassasier était leur sang pourrait me rassasier. Il me fallait du sang pour calmer ma faim et pour préserver mon esprit. Du sang humain !!! Mais bien entendu on ne pouvait m'en procurais. Cette année là je l'ai passé attachées dans une pièce noires à l'écart du monde on ne pouvait me nourrir car j'aurais cherché à mordre le dévoué qui aurait cherché à me nourrir. J'étais donc sous perfusion...
Puis vinrent des périodes moins sombre ou je pus être une petite fille normale... Enfin tant qu'il n'y avait personne dans la salle où je me trouvait. On aménagea donc une chambre pour moi... Entre la chambre de jeune fille et la cellule capitonnée. Dedans rien d'extraordinaire, des livres beaucoup de livres, des album photos qui me permettait de m'évader de sortir dans la rue en pensée et... De me rendre compte que j'étais un monstre... Et puis il y avait un piano... Un piano qui était toute ma vie. Je jouais du matin au soir... Mais il y avait des jours où je ne pouvais pas me lever, la faim me rendant folle je restais roulée en boule sur moi même... Sanglotant demandant qu'on me nourrisse. C'était horrible !
Heureusement on trouva vite un antidote. Je devais avoir neuf ans lorsqu'on trouva un remède pour me permettre de ne plus faire de crises... Ce n'est hélas pas un remède miracle mais il me permet de me de sortir dans la rue et de suivre une scolarité normale. Normale laissé moi rire !!! Et si j'avais eu une crise en plein milieu d'un cours ? Et si j'avais tué un de mes camarades de classe ? Je n'ai jamais pu m'en approcher. Je ne restais pas dans la classe pendant le déjeuné je sortait et j'allais manger seule sur le toit où alors dans le parc du collège. Je devait constamment être sur mes gardes.
Je devais avoir quelque chose de mystérieux et mais de passionnant car pendant toute ma scolarité. Je dis toute et cela en est risible car je n'ai pas longtemps était scolarisé et même pendant le peu de temps ou je suis allées à l'école j'étais souvent absente. Plus d'une fois une de mes camarades de classe est venue me voir en me demandant si elle pouvait être mon amie et à chaque fois j'ai répondu "Non, je n'ai pas besoin d'amie merci." Etait-ce du mépris de ma part ? Non... De la lâcheté oui. j'avais peur des autre mais surtout de moi même. J'en ai toujours peur.
Ma dernière crise remonte à il y a deux ans pendants les vacances d'été, je faisait des devoirs de vacance comme le voulait mon père lorsque je fut saisie de tremblements... Un froid incontrôlable c'était emparait de moi, j'ai vue maman et je ne me souvient plus de ce qui c'est passé, la faim ou plutôt la soif c'est emparée de moi. J'ai lutté, en vain... Lorsque j'ai repris contact avec la réalité maman était allongée sur le sol et ma bouche remplie de son sang. Elle ne se releva pas... Mon père arriva. Je ne fus pas non plus puni cette fois là... Mon meurtre fut déguisé en accident...
Il y a deux mois mon père a décidé que j'étais assez forte pour aller en pensionnat... S'il savait comme j'ai peur du contact des autres... J'ai peur de tuer encore quelqu'un de faire du mal sans le vouloir ! Mais je pense qu'il le sait ce qu'il veut c'est juste m'éloigner de sa nouvelle femme. Je ne peux pas lui en vouloir ma mère et moi avons gâché sa vie. Dans bientôt quatre ans je serais assez forte pour prendre la décision de ne pas continuer à la lui gâcher alors qu'il entame une nouvelle vie...
"Mais du fruit de l'arbre de la connaissance tu ne mangeras pas. Car le jour où tu en mangeras tu en mourras." Je ne suis pas crétienne et ne cherche pas à le devenir mais cette phrase trouve en mon âme un étrange écho. Un son juste. Elle résume en quelques mots ma détermination, s'il m'arrivait d'avoir une crise je prendrait dessuite la pilule de poison se trouvant dans ma poche. Je mourrais dessuite et sans douleur... Ainsi je ne ferait pas de mal. Cette maladie s'éteindra avec moi...
Je suis une trouillarde si j'étais un peu plus courageuse je la prendrait dès aujourd'hui ! Mais j'ai peur... Je ne suis qu'une crétine, me faut-il tuer encore quelqu'un avant d'accepter la mort ? Combien de larmes ferais-je verser avant d'accueillir la mort avec le sourire ? Je ne suis pas assez forte pour l'instant. Mais je le deviendrais bientôt et se jours là je pourrais enfin être libre...
Description psychologique:
Elle est silencieuse, la plus part du temps on ne remarque pas sa présence tellement elle est discrète. Elle est intelligente aussi... Très intelligente peut-être trop. Si elle l'était moins ne réussirait-elle pas à être heureuse ? Elle a conscience d'être un danger pour les autres autant que pour elle même et pour surtout ne pas blesser les autres elle vie recluse sur elle même. Elle fait pour cela preuve d'une grande force de caractère, en effet elle doit prendre sur elle même, elle sait aussi que son histoire ne peut que finir mal, elle est lucide et pour cela elle garde toujours une pilule de poison dans sa poche pour éviter devoir faire du mal aux autres. Elle est trop mature pour son âge, sa vie l'y a obligé...
Be or not to be, that is the question. Elle se demande tout le temps si sa vie à un sens, elle est pessimiste. Elle fera tout pour ne jamais se retrouver seule avec quelqu'un pour la sécurité de cette personne. Elle s'applique a rester froide et à n'exprimer aucun sentiment en présence d'autre personnes, elle peut ressembler à un caillou. Elle a peur des autres et de elle même, elle sait que si on découvrait sa maladie elle serait internée... Elle a peur et cela peut la rendre agressive, elle ne veut pas blesser les gens mais y est obligé pour leur propre sécurité. Elle ne sait pas ce qu'elle doit faire, elle se considère comme une morte en surci (désolée j'ai aucune idée de l'orthographe de ce mot). Elle ne pleure pas ne sourit pas car elle n'en voie pas l'intérêt.
Pour avoir des hobbys il faudrait encore qu'elle s'autorise de sortir... Ce qui n'est pas le cas... Elle aime des choses qu'elle peut faire seule, elle aime la lecture qui lui permet de s'évader, s'évader loin de son corps que se soit dans des mondes parallèles où sur terre elle aime la lecture. Car elle sait qu'elle ne visitera pas les endroits où l'emmènent ses lectures, qu'elle ne vivra aucune des expériences que vivent les héros. Au fils des pages elle oublie, c'est comme si elle picolait un coup pour oublier... Mais elle ne se permet pas d'alcool d peur de perdre le contrôle d'elle même.
Elle aime la randonnée, lorsqu'elle est seule perdue dans les montagnes alors elle peut hurler, hurler toute sa peine et sa rancœur envers la vie qu'il lui a été tracée à sa naissance. Elle peut alors pleurer sans que personne ne le voie. Elle sait que si jamais elle a une crise en montagne elle se fera du mal à elle mais pas aux autres...
Et pour finir elle joue du piano, c'est une échappatoire la moyen d'entendre une voix autre que la sienne, une musique qui libère son cœur. Elle joue pendant des heures, elle n'a plus besoin de professeur elle sait tout ce qui peut lui être appris par un humain maintenant son seul professeur est la musique...
Description physique:
Elle n'est pas grande, plutôt mirguette si vous voyez ce que je veux dire, la fille souris lui irait bien comme surnom. Elle doit difficilement atteindre les un mètre cinquante six. Son visage est encadré de longs cheveux noirs encadre son visage, elle les laisse souvent aller au grès du vent, elle aime le vent... Ses yeux sont bleus, bleus cristallins à travers de ses yeux on pourrait voir son âme si seulement elle laissait les gens y regarder. Elle est très fine, on pourrait penser qu'un coup de vent la briserait. Elle a un teint très pale blanche comme la lune... En fait la jeune fille semble toujours malade d'une part par sa grande finesse et surtout à cause de la pâleur de sa peau. A ses poignet on voie toutes ses veines sous sa peau tellement elle est translucide. Elle est fragile... D'autres marques décorent ses poignets des marques de morsures... Ses lèvres sont roses, c'est probablement à part ses cheveux la chose la plus colorée de son corps. Elle ne sourit pas où du moins elle n'a personne pour la faire sourire son regard est morne... Une étrange lueur brille dans ce regard : la peur...
Son style de vêtement est très variable... Enfin non c'est toujours la même chose qui varie selon les endroits ou elle est. Lorsqu'elle va au lycée elle porte un uniforme noir... Une jupe plissées qui lui arrive à mis cuisse, des bas noirs en dentelles, un corset en velours noir porté sur un sweat de dentelle assorti. Mais lorsqu'elle est chez elle, elle se permet la couleur car chez elle elle n'a pas besoin de se cacher... Chez elle elle est toujours habillé en Kimonos multicolores, maintenant elle met les kimonos que portait sa mère, des kimonos très colorés et aux motifs floraux magnifiques car sa mère tenait ses kimonos de sa propre mère qui était geisha.
Autre: Merci à l'admin qui n'a pas tout lu par flemme pour me laisser mes pouvoirs magiques xD
Code: combien tu me payes pour le lire ?