Y'a t-il quelqu'un de malade ou blessé ?

Après sa réponce, l’infirmier se crispa un peu avant de planter ses ongles dans la cuisse d’Inari. Le visage du garçon se crispa. Comme a con habitude il n’avait pas réussi a tenir sa langue et sa lui retombait dessus. L’infirmier lui attrapa ensuite le visage et l’insultât avant de se mettre a marcher nerveusement dans l’infirmerie. C’est alors qu’il commença a dire qu’il allai s’occupé de Naoki.
Il voulait s’en prendre a Naoki ! Ca il ne le laisserait pas faire. Il allait répondre quand L’infirmier revint pour lui saisir le visage. Laissant couler sur sa joue du sang qui s’écoulait de son doigt. Le regard de Nishiki suffisait à vous glacer le sang. Inari aurait bien voulu partir mais plusieurs choses le retenaient. Il n’y avait pas de sorti bien possible, il n’arrivait pas a bouger, une autre parti de lui ne voulais pas lui donner satisfaction en s’enfouillant. A toutes ces choses viens s’ajouter une nouvelle. La main de L’infirmier s’était saisie de son coup et serrait.

" Ou alors peut-être que c'est toi qui devrait mourir... tu ne me poserais plus de problème. Tant pis pour l'expérience, je trouverais quelqu'un d'autre très rapidement. Ce n'est pas des petits jeunes qui manquent dans ces bâtiments. "

Inari commençait à avoir du mal à respirer. Et attrapa la main de Nishiki sachant que sa ne changerai rien. L’infirmier l’embrassa alors en mordant sa lèvre inférieure.

" Pauvre petit âme déchu. Tu avais de la chance que je sois de bonne humeur... j'étais gentil avec toi... et pourtant tu me dis ça... "

C’est vrai que ce qu’Inari avait dit n’était pas des choses des plus gentilles mais de la a s’emportait autant… L’infirmier le lâcha alors pour aller balancer les seringue et tout se qu’il pouvait se trouvait dans la pièce. Il était en train de péter les plombs ! Inari n’osait rien faire et puis, que pouvait-il fait ? A par peut être allé tambouriner a la porte sachant que à cette heure-ci très peu de gens passait. Il fut alors surpris par une gifle qu’il n’avait pas eue le temps de voir arriver. C’est alors que Nishiki entoura Inari dans ses bras.

" Pourquoi petit garçon n'acceptes tu pas la réalité en face. Cette petite fille... elle n'est rien. Inutile, idiote. Moi, je serais là pour toi, je te couverais, personne ne pourra te blesser... "

Inari ne savais que répondre. Il avait peur de froisser encore plus l’infirmier qui avait un caractère assez lunatique… Mais il ne voulait pas se soumettre pour autant.

"S’il te plait… Ne fait pas de mal a Naoki… "

Nishiki n'arrêtait pas d'enchainer l'énervement, le camle, la joie, la tristesse. D'un instant à l'autre il était un fou, un énervait, un amoureux. Le jeune homme, qui avait travaillait dans un asil de fou, peu avant, se dit que c'est peut-être lui qui auait du être dans cette pièce blanche, et lui qui aurait du servir d'exérience. Il se mit à rigoler à cette pensée, ne se souciat pas de Inari qui était près de lui. De toute manière, avec tout ce qu'il venait de faire, le jeune homme ne pouvait pas penser pire de lui.

Tant mieux. Au moins c'était sur qu'un jour il n'allait pas lui sortir un "je t'aime docteur" ou autre paroles stupides dans le même genre. Ce que les gens pouvait être stupide ! Lui était comme ça ! Il ne pense que les gens ne sont que des marionettes, des jouets, des expériences, tout autour de lui n'est rien de bon ! Même quand il soigne quelqu'un il demande une compensation ! Vous trouvez franchement que c'est bien ça ?

Et pourtant, malheureusement, il y a toujours des idiots pour tomber amoureux. Les sentiments sont déà bien énervant. A cause d'eux on agit sur le coup, regrettant alors ce que l'on a fait sur le coup de l'impulsion, mais alors l'amour, c'est bien le sentiment que Nishiki déteste le plus. Celui auquel les gens sont le plus dépendant. En second il y avait la pitié, mais bon, passons outre ce détail.

Malgré tout ce que l'infirmier venait de dire, ou encore de faire, ce petit effronté lui demandé encore de ne rien faire à la planche à pain. Lui aussi était amoureux. Et voilà ! Une autre preuve qui montre que l'amour rend idiot, rend faible, rend dépendant. On ne dit pas pour rien que l'amour est la pire drogue...

L'homme attrapa le haut du garçon et lui balança à la figure, son visage ravager par la colère, lançant encore et encore des éclairs par ces yeux. Si si, c'est possible ! Nishiki se dirigea vers son bureau, ouvrit le tiroir, le referma et alla ouvrir la porte rageusement, la gardant dans sa main qu'il serrait sur le bois.

" Dehors. "

Sa voix était calme, ce qui accentuait encore plus le faite qu'on voi qu'il était en colère et se métrissait, mais que cela pourrait éclater d'un insant à l'autre.

" Ton premier paiement n'est pas finit. Revient quand je t'appellerais. Reparle moi d'elle ca chauffera. Réfléchit bien à ça en attendant. "

Gardant la prote dans sa main, il attendit que Inari sorte.

La réaction de l’infirmier était des plus étranges. Il semblait être habité par plusieurs personnes à la fois. Inari n’osé toujours pas bouger et fixé le sol. Il avait toujours très chaud mais son sang se glaça quand il entendit le rire de Nishiki. Il se crispa un peu plus mais fut un peu rassuré quand il sentit que l’infirmier se détachait de lui. A ce moment la, Inari se retourna et se reçu son T-shirt dans la figure. Il attrapa son haut dans ses mains et regarda Nishiki. Ce dernier était vraiment énervé. Il prit la clé de la porte et l’ouvrit avant d’ordonné a Inari de sortir. Le jeune pensionnaire fut assez content. Il allait pouvoir partir ! Il enfila son pantalon et, le T-shirt à la main, se dépêcha de franchir la porte. Nishiki ajouta qu’il ne voulait plus entendre parler de Naoki. Inari se retourna et regarda les yeux de l’infirmier. On voyait dans ses yeux qu’il faisait son possible pour rester calme et Inari n’avais pas spécialement envie de se prendre tout ca dans la tronche. Il préféra donc ne rien dire et couru en direction des chambres, le T-shirt a la main.

[Ben moi je pars en direction de hall ^^]

Nishiki avait quitté la salle de relaxation totalement détendu et heureux. Enfin, peut-être pas heureux mais bien content il faut l’avouer. Au départ, il était allé là-bas pour décompresser et être d’aplomb pour le tit Inari lorsqu’il viendrait le voir à l’infirmerie, mais finalement, encore mieux pour lui, il l’avait croisé là-bas et avait pu faire un avant jeu avant le grand show. Bref. Il était donc parti tout content et avait retrouvé son antre.

Une fois rentré, il avait préparé alors ses petits trucs. Nouvelle formule à expérimenté, puis d’autre plus banale bien entendu. Calmant, paralysie temporaire, aphrodisiaque… les habitués donc. Une fois cela fais, il avait fait également les lits, parce que peu avant dans la journée, il avait eut droit à deux trois garçons blessés après s’être battu, donc il y avait du sang par exemple, et donc des draps à changer.

Une fois tout cela fais et son bureau tout propre tout prêt, il s’installa tout simplement à son bureau et s’occupa de ses papiers, attendant que Inari se décide à montrer le bout de son nez…

« Il est en retard… »

Ou pas. C’était juste qu’il n’était pas très patient.

Inari était assit dans le couloir le plus proche de l’infirmerie. Il était là depuis déjà un petit moment car il ne voulait surtout pas être en retard au risque de froisser l’infirmier. Mais quelque chose l’empêcher de se lever. Il était retissant… Pourtant il n’avait pas de raison. Nishiki lui avait dit de le rejoindre pour passé du bon temps ensemble. Pour le pensionnaire ce n’était pas la première fois qu’un homme lui proposait ça et il devait avouer que ce n’était pas désagréable, mais c’était la première fois qu’une personne du corps enseignant lui demandait… Si on pouvait considérer cet infirmier comme un professeur…Combien de temps encore allait-il avoir peur de cet infirmier ?! Il l’avait traumatisé seulement avec un comportement étrange à l’égard d’une fille blessée et d’une piqure qu’il lui avait administré…

Inari se releva et regarda une pendule qui était dans le couloir. L’heure du rendez-vous était arrivée. Il se leva et se dirigeât vers l’infirmerie. Il pose sa main sur la poigné la tourna mais ne poussa pas la porte. Il se demandait si l’infirmerie était un endroit bien approprié pour ce genre de choses. Il secoue la tête pour chasser cette question de sa tête et poussa la porte. Nishiki était assit à son bureau plongé dans ses papiers. La salle était toujours aussi propre et blanche avec cette légère odeur de désinfectant qui flottait. Inari referma la porte derrière lui et s’immobilisa. Que fallait-il qu’il fasse ? Il ne savait pas. Il resta donc debout, à coté de la porte, et regardait le sol.

[Tu vois moi aussi c'est un petit message ^^']